Les technologies mises en œuvre lors des phases d’approche et d’atterrissage de la mission Mars 2020 (freinage atmosphérique, parachute, propulsion), bien que constituant toujours un véritable défit, avaient déjà été expérimentées lors de précédentes missions. En revanche, le vol d’hélicoptère extra-terrestre exécuté pendant cette mission représente une première. Un bref historique nous permet de resituer les choses :
Le freinage atmosphérique : un freinage contrôlé
A la fin de son voyage interplanétaire (de la Terre vers Mars), le véhicule spatial (pesant une tonne environ) s’est présenté avec une vitesse de 19 000 km/h à l’entrée de l’atmosphère de Mars et avec comme contrainte d’atterrissage de devoir annuler cette vitesse juste au moment du contact avec le sol.
Beau TODA à Bogota
Comprendre le décollage d’un avion de ligne Le décollage de Bogota est toujours un peu particulier pour un avion comme l’A340 qui avale beaucoup de…
La finesse
Sur un planeur, il n’y a pas de moteur donc pas de traction. C’est donc l’action du poids qui permet de compenser les pertes énergétiques…
Loi de la portance
Ecriture de la loi Des études en soufflerie ont permis de mettre en évidence l’expression de la portance Rz. et de la trainée Rx qui…
Portance et trainée
Lorsque l’air s’écoule autour d’un objet, ou qu’un objet se déplace dans l’air, une action aérodynamique apparaît sur l’objet.
Le vol stabilisé
Si un avion est soumis à un ensemble de forces dont les effets se compensent, il son vol est rectiligne uniforme. (Principe d’inertie). Dans le cas contraire il accélère dans une direction.
Modéliser les actions mécaniques
Le poids est défini par rapport au sol qui constitue donc un premier référentiel. La traction de l’hélice a été quant à elle définie par rapport à l’axe de l’avion qui est un autre référentiel. Et enfin, les forces aérodynamiques se rapportent au mouvement relatif de l’air qui constitue un troisième référentiel.